Bali, la merveilleuse
Après un mois en Australie, terre sauvage et immense, me voici à Bali, petite île miniaturisée où la beauté est règle d'or et transcende tout ce qu'elle touche; grâce des danses balinaises, harmonie des rizières en terrasses, sourire et gentillesse des balinais...
Cette île est une révélation pour les sens: la douce odeur sucrée des fleurs de frangipanier offertes aux dieux et qui ornent la cheveulure des balinaises, le souffre des fumerolles du volcan Batur, l'odeur suave des bâtonnets d'encens qui brûlent devant les temples et les icônes de Ganesh, le goût exquis des plats que l'on déguste dans les feuilles de bananier. Tout n'est que beauté, sérénité, harmonie.
A Ubud, j'assiste par hasard (mais il n'y a jamais de coïcidences!) à une cérémonie qui ne se déroule que deux fois par an. Les femmes portent grâcieusement les offrandes sur leurs têtes; pyramides de fruits et de fleurs, dans une vasque d'or. Les petites filles sont maquillées et habillées comme de vraies poupées (sarong, couronnes de fleurs dorées et rouge carmin sur les joues) et arrosent délicatement la tête des fidèles avec de l'eau sacrée pour purifer l'âme, et les garcons , grains de riz sur le front, comme bouclier de protection, jouent des instruments traditionnels.
Je parcours l'île à moto et profite de chaque vision de bonheur: le vert intense et profond des rizières, la silhouette dentelée des volcans (dont j'ai fait l'ascension de nuit pour voir le lever du soleil sur le lac Batur, une merveille!), le riz étalé qui sèche au soleil, les écoliers qui sirotent une glace en uniforme en sortant des cours, les poules qui vadrouillent, les temples et les offrandes, les fruits, les plages de sable noir volcanique... Et tellement d'autres visions de beauté intenses...
Et pour quelques roupies, je me suis laissée ennivrer par un massage traditionnel balinais, suivi d'un masque de lait et de yaourt sur tout le corps, avant de me ressourcer dans un bain de fleurs fraîches...
Je prends aujourd'hui le ferry pour Lombok une île au large de Bali, toute aussi belle mais très différente, où les fonds marins sont une merveille.
Cette île est une révélation pour les sens: la douce odeur sucrée des fleurs de frangipanier offertes aux dieux et qui ornent la cheveulure des balinaises, le souffre des fumerolles du volcan Batur, l'odeur suave des bâtonnets d'encens qui brûlent devant les temples et les icônes de Ganesh, le goût exquis des plats que l'on déguste dans les feuilles de bananier. Tout n'est que beauté, sérénité, harmonie.
A Ubud, j'assiste par hasard (mais il n'y a jamais de coïcidences!) à une cérémonie qui ne se déroule que deux fois par an. Les femmes portent grâcieusement les offrandes sur leurs têtes; pyramides de fruits et de fleurs, dans une vasque d'or. Les petites filles sont maquillées et habillées comme de vraies poupées (sarong, couronnes de fleurs dorées et rouge carmin sur les joues) et arrosent délicatement la tête des fidèles avec de l'eau sacrée pour purifer l'âme, et les garcons , grains de riz sur le front, comme bouclier de protection, jouent des instruments traditionnels.
Je parcours l'île à moto et profite de chaque vision de bonheur: le vert intense et profond des rizières, la silhouette dentelée des volcans (dont j'ai fait l'ascension de nuit pour voir le lever du soleil sur le lac Batur, une merveille!), le riz étalé qui sèche au soleil, les écoliers qui sirotent une glace en uniforme en sortant des cours, les poules qui vadrouillent, les temples et les offrandes, les fruits, les plages de sable noir volcanique... Et tellement d'autres visions de beauté intenses...
Et pour quelques roupies, je me suis laissée ennivrer par un massage traditionnel balinais, suivi d'un masque de lait et de yaourt sur tout le corps, avant de me ressourcer dans un bain de fleurs fraîches...
Je prends aujourd'hui le ferry pour Lombok une île au large de Bali, toute aussi belle mais très différente, où les fonds marins sont une merveille.